Etant donné que j'ai envoyé les papiers d'adoption pour Ramses , je suis enfin sure que plus personne ici ne lui fera oului voudra du mal . Chaque fois que j'ai trouvé quelqu'un pour Ramses la trésorière empêchait l'adoption en racontant je ne sais quoi , il a fallu que j'ai a faire a Mme et Mr Gorius pour savoir , qu'il était mordeur , fugueur multirécidiviste et je ne sais quoi encore , alors que Ramses, ne m'a jamais mordu,et pourtant quend je lui enlevai des noeuds dans son sous poil , il avait vraiment de bonnes raisons de le faire ;il n'a jamais fugué de chez moi , mais c'est sur qu'un chat qui vit a la rue pas mal de temps a tendence a sortir si il trouve une porte ouvert , et même un chat qui n'est jamais sortit d'un appartement s'il trouve la porte ouverte , il va voir ce qui se passe dehors .
Je ne pouvais pas garder Ramses , parceque j'ai déja beaucoup de travail avec tous les autres chats , 22 bacs a nettoyer , les gamelles a préparer et a nettoyer , le ménage; étant fibromyalgique j'ai besoin de temps de repos dans la journée , je suis parfois obligé de m'allonger entre chaque étape de mon boulot journalier . Mais j'arrive quand même a tout faire sauf que d'avoir un chat en plus et qui demande tant d'attention je ne pouvait pas , mais je ne l'aurai jamais laisser partir a l'EUTHANASIE .
Bien sur ça a été une adoption gratuite !!!
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N ous n’en revenons toujours pas ! Qui aurait cru que ça marcherait ? », n’en finissent plus de s’émerveiller Marcel et Viviane Gorius. Ce couple de retraités recueille des chats abandonnés depuis une trentaine d’années. Il a même fait construire uneN ous n’en revenons toujours pas pas ! Qui aurait cru que ça marcherait ? », n’en finissent plus de s’émerveiller Marcel et ons toujours chatière, à l’arrière de sa maison à Saint-Avold, où une vingtaine de félins coulent des jours heureux.
Au début du mois, une voisine et amie, Fabienne Armando, parle aux Gorius du « cas Ramsès ». Sur le site internet Chat sans toi, la Naborienne a lu que ce persan roux risquait l’euthanasie. « Ramsès a connu une vie difficile », affirme le couple. « Il a été abandonné plusieurs fois. On nous a dit qu’une dame de Saint-Brieuc l’avait récupéré mais ne pouvait le garder, car elle avait déjà elle-même 35 chats. »
Le temps presse : l’euthanasie est prévue quelques jours plus tard. Les retraités sont prêts à accueillir Ramsès, bien sûr, mais ils sont trop âgés pour faire le déplacement jusqu’à Saint-Brieuc. Alors, comment lui faire parcourir les 800 kilomètres qui séparent les deux cités ?
J’ai frappé à toutes les portes pour qu’on puisse nous le ramener », insiste Fabienne Armando. En écrivant, par exemple, à 60 millions d’amis. « On m’a donné une liste de transporteurs d’animaux. » Qu’elle contacte. Mais les devis s’élèvent à près de 500 €.
Après bien des tergiversations, un appel est finalement lancé par voix de press e. « Le premier jour après la parution de notre histoire dans le Républicain Lorrain (le 5 janvier dernier, ndlr), nous avons reçu 1094 mails », confie Marcel Gorius. « En tout, plus de 2 500 personnes nous ont contactés. Nous avons reçu des appels téléphoniques, et certains nous ont même envoyé des chèques. »
Méchant ? Avec nous il ne bouge pas ! »
Julie, une enseignante de 23 ans, installée à Paris, entend parler de l’opération. « Elle a pris un train Paris-Nantes-Saint-Brieuc pour aller le chercher », reprend Viviane qui précise que les dons des internautes serviront à rembourser ce trajet. Samedi soir dernier, les Gorius se précipitent à La-Ferté-sous-Jouarre, en région parisienne. Julie a ramené Ramsès là-bas !
Hier, le persan se baladait en toute insouciance dans la demeure des Gorius. « On nous a raconté qu’il griffait, qu’il mordait, que c’était un fugueur… Avec nous, il est tout gentil. Il ne bouge pas », sourit Marcel. « On le laisse aller partout à sa guise, il prend ses marques », complète Viviane. La tension est retombée, les Gorius vont pouvoir reprendre leurs habitudes. Installés sur leur canapé, le chat sur les genoux, ils concluent : « Nous n’aurions jamais cru que cela arriverait. Quand on parle passion pour les chats, on sent parfois les gens perplexes. Pourtant, pour Ramsès, ils sont nombreux à s’être mobilisés. Certains diront : "Tout ça, pour un chat ?" Mais c’est vraiment une belle histoire ! »
Ma. K.